jeudi 7 avril 2011

Derviche.

Derviche tourneur, bonnes références, cherche vertige. Et puis la métaphore file comme les bas roulés sous la table, nous roulons sous la table, des lèvres ourlées, retroussées, babines, vagins dentés, redites, relapse. Alcohol, please. Des étiquettes de WTF pendent hors des cols neufs comme des pendules, c'est la saison des soldes, derviche tourneur, la tête qui tourne, échappe à la malédiction focale, à l'attrait de la vie qui se balance seulement de gauche à droite comme un pendule d'hypnotiseur. Un bouquin qui parle d'alambics. Et puis un bouquin qui parle de décomposition, bof, je sais déjà tout ça, je m'en fous, déjà, depuis longtemps. Ma cervelle battue, montée en neige par le "mouvement planétaire" (lol), tente d'appréhender les attributs du réel: le droit du travail, le dérèglement climatique... Alors je pouffe, dents dehors comme ces têtes de mort, nez de clown, caca, bite. Justerini à la réa le cinéma habituel à chaque "On tourne" (défi n°1: analyser la syntaxe de la phrase précédente).

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